L’insuffisance hépatique équine

L’insuffisance hépatique équine

Tous les propriétaires de chevaux partagent l’envie d’agir sur la santé et le bien-être de leurs équidés. Chez Hipassur, notre engagement est de vous apporter notre expertise et des solutions de protection adaptées face aux défis que peut représenter la santé équine. Aujourd'hui, nous souhaitons aborder une pathologie souvent sous-estimée aux conséquences potentiellement graves : l'insuffisance hépatique chez le cheval. Comprendre le rôle fondamental du foie et les mécanismes de cette pathologie est indispensable pour anticiper les risques et agir avec discernement auprès de votre cheval.

 

Le foie du cheval, ce pilier essentiel

Pour bien saisir l'enjeu de l'insuffisance hépatique, il est important de comprendre le rôle colossal du foie. Imaginez cet organe comme une usine chimique intégrée, la plus grande et la plus polyvalente du corps de votre cheval. Il travaille sans relâche pour maintenir l'équilibre parfait de son organisme. Ses fonctions sont multiples et vitales :

  • Il détoxifie : C'est le principal filtre de l'organisme. Le foie neutralise et élimine les toxines produites par le corps (comme l'ammoniac, toxique pour le cerveau) ou celles ingérées (plantes toxiques, médicaments, pesticides). Il les transforme en substances inoffensives, prêtes à être évacuées.
  • Il gère l'énergie : Il régule le niveau de sucre dans le sang, en transformant les glucides assimilés en glycogène, une forme d'énergie stockable, qu'il libère ensuite selon les besoins du cheval. C'est un acteur clé de la vitalité quotidienne de votre équidé.
  • Il fabrique des protéines vitales : Le foie est le principal producteur de protéines essentielles, comme l'albumine (très important pour le maintien du volume sanguin). Il produit aussi la plupart des facteurs de coagulation, indispensables pour stopper les saignements en cas de blessure.
  • Il fabrique de la bile : La bile est indispensable à la digestion des graisses et à l'absorption des vitamines liposolubles (A, D, E, K) dans l'intestin de votre cheval.
  • Il stocke : Il sert de réserve pour des vitamines essentielles (A, D, E, K, B12), le fer et le glycogène, ainsi il assure une disponibilité constante pour l'organisme.

Parfois, cette incroyable "usine" est compromise et ne peut plus remplir ses fonctions correctement. C’est alors que l’on parle d'insuffisance hépatique. Il s’agit d’un signal d'alarme qui demande une attention immédiate de tous les propriétaires d’équidés. Il est important de savoir que le foie possède une grande capacité de réserve et que les fonctions hépatiques ne sont pas altérées tant que 20 à 30 % de l’organe restent fonctionnels.

Tout comme l’insuffisance rénale chez le cheval, cette pathologie demande une prise en charge sérieuse. Sa présence compromet la qualité de vie du cheval mais également son espérance de vie.

 

Causes et facteurs de risque de l'insuffisance hépatique équine

L'insuffisance hépatique n'est pas une maladie unique, mais plutôt la conséquence de divers facteurs qui endommagent le foie. Comprendre ces causes est la première étape pour prévenir et agir efficacement dans l’intérêt du cheval.

Plusieurs causes sont possibles dans la survenue de cette pathologie :

Intoxications alimentaires : C'est l'une des causes les plus fréquentes de dommages hépatiques, qu'ils soient aigus ou chroniques. Les chevaux sont particulièrement sensibles à certaines toxines présentes dans leur environnement :

  • Les plantes hépatotoxiques : Le Séneçon de Jacob est le plus connu, mais d'autres comme l'Héliotrope ou la Crotalaire contiennent des alcaloïdes pyrrolizidiniques (AP). A l'état frais, ces plantes sont souvent délaissées car amères, mais elles deviennent malheureusement appétentes une fois séchées dans le foin. Leur ingestion progressive entraîne des lésions hépatiques cumulatives et irréversibles. Une vigilance constante de vos pâturages et de la qualité du foin est donc pour détecter les végétaux toxiques pour le cheval.
  • Les moisissures et mycotoxines : On les retrouve dans des aliments ou du foin mal conservés, certaines moisissures (comme Aspergillus flavus produisant des aflatoxines) peuvent être très toxiques pour le foie. Un stockage adapté est une mesure préventive sur laquelle on doit être intransigeant. Rappelons que les moisissures et les mycotoxines sont en partie responsables de la survenue de l’asthme chez le cheval. L’implication des mycotoxines est également suspectée dans les cas de colique chez le cheval.
  • Certains médicaments : Certains médicaments, en particulier les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) à fortes doses ou sur de longues périodes, peuvent potentiellement exercer une toxicité hépatique. C'est pour cette raison qu’il est essentiel de respecter scrupuleusement les directives et prescriptions de votre vétérinaire.

Vérifier régulièrement la qualité du foin donné aux chevaux, il ne doit pas contenir de parties moisies ou humides en raison du développement de mycotoxines très néfastes pour le foie du cheval.

Les affections biliaires : Bien que le cheval ne possède pas de vésicule biliaire, des problèmes peuvent survenir dans ses canaux biliaires :

  • Cholangiohépatite : Il s’agit d’une inflammation des canaux biliaires et du tissu hépatique environnant. Elle est souvent causée par une infection bactérienne remontant de l'intestin ou, plus rarement, par les parasites qui migrent dans le foie (Douve du foie).
  • Les calculs biliaires (cholélithiase) : Il arrive que des "cailloux" se forment dans les canaux biliaires du foie et bloque le flux de bile. Cette obstruction entraîne une accumulation de bile, provoque une inflammation et des dommages au foie.

La Stéatose hépatique (Hyperlipidémie) : Cette pathologie est plus fréquente chez les poneys, les ânes et les chevaux miniatures, surtout s'ils ont un surpoids de poids. Elle survient en cas de jeûne prolongé. Le corps mobilise alors trop de graisses qui vont s'accumuler de manière excessive dans les cellules hépatiques et vont submerger le foie.

La maladie de Theiler (hépatite sérique équine) : Il s'agit d'une forme grave et aiguë de maladie du foie qui se caractérise par une nécrose hépatique massive et soudaine. Historiquement, elle a été associée, dans de très rares cas, à l'administration de produits biologiques d'origine équine (comme certains sérums, notamment le sérum antitétanique, ou du plasma) quelques semaines ou mois avant l'apparition des signes cliniques.

Il est important de souligner que des millions de doses de ces produits sont administrées chaque année en toute sécurité, et que la maladie de Theiler est une complication absolument exceptionnelle. La recherche scientifique a fait d'importantes avancées et a récemment identifié un virus, le parvovirus équin (EqPV-H), comme la cause probable de la maladie de Theiler. On pense que ce virus peut être présent chez de nombreux chevaux sans jamais causer de maladie grave. Il s’agirait d’une combinaison complexe de facteurs, parfois incluant l'administration de produits équins (qui pourraient contenir le virus ou déclencher une réponse immunitaire), qui mènerait à cette réaction sévère chez un nombre infinitésimal de chevaux.

Il faut savoir que, si cette maladie est grave, elle est aussi extrêmement rare. Les bénéfices de la vaccination et de l'administration de sérums (comme la protection contre le tétanos, une maladie souvent mortelle) sont immenses et dépassent de très loin ce risque infinitésimal. Votre vétérinaire est le mieux placé pour évaluer les besoins de votre cheval et choisir les traitements les plus appropriés en toute sécurité.

Les infections et inflammations systémiques : Des infections virales (comme certains Herpès virus ou Adénovirus équins) ou bactériennes sévères peuvent parfois impacter secondairement le foie. Une inflammation systémique importante, par exemple à la suite de coliques graves ou une fourbure chez le cheval, peut entraîner des lésions hépatiques.

L’insuffisance hépatique des chevaux

Cheval atteint de photosensibilisation au paturon en raison d'ingestion de plantes photosensibilisantes.

 

Les symptômes de l'insuffisance hépatique équine

L'insuffisance hépatique progresse malheureusement de façon insidieuse. Le foie possède une extraordinaire capacité de réserve fonctionnelle et les signes cliniques n'apparaissent souvent que lorsque plus de 70 à 80 % de l'organe est endommagé. C'est pourquoi une bonne vigilance et une connaissance des symptômes, même subtils, sont nécessaires.

Voici une liste d’indicateurs qui méritent de l’attention :

  • Léthargie et abattement : Le cheval semble moins énergique, plus lent, moins réactif, voire déprimé.
  • Anorexie et perte de poids : On remarque ne diminution ou un refus de s'alimenter, souvent accompagnée d'une perte progressive de l'état corporel.
  • Faiblesse générale et ataxie : Une diminution de la force musculaire, une démarche hésitante ou chancelante, des trébuchements.
  • Fièvre : Elle peut être présente si une infection ou une inflammation est en cause.
  • Un ictère (Jaunisse) : C'est le symptôme le plus classique. Les muqueuses visibles (gencives, blanc des yeux, intérieur des narines) prennent une coloration jaune-orangée. Cela est dû à l'accumulation de bilirubine dans le sang, que le foie n'arrive plus à traiter et à éliminer.
  • De la photosensibilisation : Le foie est impliqué dans l'élimination de la phylloérythrine, un sous-produit de la chlorophylle. En cas d'insuffisance hépatique, cette substance s'accumule et rend la peau non pigmentée (zones blanches des balzanes, du chanfrein) excessivement sensible au soleil. Cela se manifeste par des coups de soleil sévères, des rougeurs, des gonflements, des croûtes et des démangeaisons intenses.
  • Des signes neurologiques : Ce sont les symptômes les plus alarmants, souvent le signe d'un stade avancé. Ils résultent de l'accumulation de toxines (notamment l'ammoniac, qui n'est plus détoxifié par le foie) dans le sang et qui affecte directement le cerveau. Les manifestations peuvent varier :
  • Bâillements excessifs ou pressions de la tête contre des objets (le "head pressing").
  • Cécité apparente ou désorientation.
  • Changements de comportement marqués (agressivité inexpliquée, dépression profonde, hyper-excitabilité).
  • Erreurs de jugement, errance compulsive, somnolence excessive.
  • Dans les cas les plus graves : convulsions, coma.
  • Des coliques : Moins fréquentes, mais possibles, surtout en cas d'obstruction biliaire.
  • Des œdèmes : Gonflement des membres inférieurs ou de la partie ventrale de l'abdomen, en lien avec la diminution de la production d'albumine par le foie.
  • Des problèmes de coagulation :
  • Des saignements anormaux, des hématomes faciles, dus à un déficit en facteurs de coagulation essentiels.
  • Des diarrhées : Bien que rare, elles peuvent parfois être observées.

 

Le diagnostic

Si vous avez le moindre doute d’une insuffisance hépatique chez votre cheval, faite intervenir rapidement votre vétérinaire. Le vétérinaire va procéder de manière méthodique pour établir son diagnostic :

L’anamnèse et l’examen clinique approfondi : Votre vétérinaire recueillera un historique détaillé de votre cheval (alimentation, exposition à des plantes, médicaments récents, antécédents médicaux) et l'examinera attentivement pour identifier les signes cliniques mentionnés. (Coût estimé de la consultation : 50 - 100 €)

Des analyses sanguines (biochimie sanguine) : C'est l'outil diagnostic le plus précieux. Des enzymes hépatiques spécifiques (GGT, PAL, SDH, GLDH) élevées indiquent des dommages aux cellules hépatiques. Les niveaux de bilirubine indiquent la capacité du foie à traiter les pigments biliaires. D'autres paramètres comme l'albumine, l'urée et les acides biliaires sont également nécessaires pour confirmer l'étendue de l'atteinte et le pronostic. (Coût estimé : 80 - 200 € en fonction du panel d'analyses)

L’échographie abdominale : Cette technique d'imagerie permet au vétérinaire d'évaluer la taille, la forme, la structure du foie, ainsi que l'état des canaux biliaires. Elle peut révéler la présence d'abcès, de tumeurs, de calculs ou d'autres anomalies structurelles. (Coût estimé : 150 - 350 €)

La biopsie hépatique : Souvent indispensable pour établir un diagnostic définitif et déterminer la cause exacte des lésions. Un petit échantillon de tissu hépatique est prélevé sous anesthésie locale et envoyé à un laboratoire spécialisé pour un examen histopathologique. Cela permet de différencier les types de lésions (inflammation, nécrose, fibrose, stéatose) et d'orienter le traitement de manière ciblée. (Coût estimé : 250 - 600 € incluant la sédation, la procédure et l'analyse du laboratoire)

 

Le Traitement

Le traitement de l'insuffisance hépatique est complexe et vise principalement à soutenir la fonction hépatique restante, à éliminer la cause sous-jacente (si elle est identifiable) et à prévenir les complications. Plus le diagnostic est précoce, meilleures sont les chances de succès.

Un traitement de soutien général :

  • La fluidothérapie intraveineuse : Elle est indispensable pour maintenir l'hydratation, corriger les déséquilibres électrolytiques et apporter des nutriments essentiels. (Coût estimé par jour d'hospitalisation : 150 - 300 €, incluant la perfusion et les soins de base. Une hospitalisation de 3 à 7 jours est fréquente soit un total de 1000 - 2100 € voire plus.)
  • Un soutien nutritionnel adapté : La mise en place d’un régime alimentaire spécifique qui privilégie les aliments riches en glucides et en fibres faciles à digérer (comme le foin de bonne qualité et la pulpe de betterave sans mélasse). L'objectif est de fournir une source d'énergie facilement utilisable tout en réduisant la production de toxines comme l'ammoniac. Les protéines de haute qualité peuvent être limitées dans certains cas.
  • Une supplémentation en vitamines : Des vitamines B (importantes pour le métabolisme) et la vitamine K (essentielle à la coagulation sanguine) sont souvent administrées. (Coût : variable, de 20 € à 100 € par traitement initial, puis des frais mensuels pour la gestion à long terme)
  • Des antioxydants et hépato protecteurs : Des compléments comme la vitamine E, la vitamine C ou la S-adénosylméthionine (SAMe) peuvent aider à protéger les cellules hépatiques des dommages oxydatifs et à favoriser leur régénération. (Coût : de 50 € à 200 € par cure selon le produit et la durée, souvent nécessaire sur plusieurs mois.)
  • Une gestion des toxines : Si des signes neurologiques (encéphalopathie hépatique) sont présents, des médicaments comme le lactulose sont utilisés pour réduire l'absorption d'ammoniac dans l'intestin. (Coût : 20 - 50 € par semaine de traitement, souvent prolongé.)
  • Des antibiotiques : Peuvent être prescrits pour réduire la production d'ammoniac par la flore intestinale ou pour traiter des infections hépatiques spécifiques (cholangiohépatite). (Coût : de 50 € à 200 € par traitement, selon le type et la durée.)

 

Traitement spécifique de la cause :

  • Intoxications végétales : La première étape est l'élimination immédiate de la plante toxique du pâturage ou de l'alimentation. Le traitement est ensuite principalement symptomatique.
  • Cholélithiase/Cholangiohépatite : Nécessite des antibiotiques ciblés, et parfois des lavages biliaires ou une intervention chirurgicale pour enlever les calculs. (Coût d'une chirurgie pour calculs biliaires : très élevé, pouvant atteindre plusieurs milliers d'euros, de 2000 € à 5000 € ou plus.)
  • Stéatose hépatique : Demande une gestion intensive des prises alimentaires et de l’activité et un soutien nutritionnel.
  • Maladie de Theiler : Le traitement est essentiellement de soutien, car il n'existe pas de traitement spécifique pour cette nécrose hépatique aiguë.

 

 

Quel pronostic à long terme ?

Le pronostic dépend étroitement de la cause sous-jacente, de la sévérité des lésions au moment du diagnostic et de la réponse individuelle au traitement.

Dans le cas d’une insuffisance hépatique aiguë : Si la cause est rapidement identifiée et maîtrisée, et que les dommages ne sont pas irréversibles, une récupération est envisageable grâce à la remarquable capacité de régénération du foie.

Dans le cas d’une insuffisance hépatique chronique : Souvent due à une exposition prolongée à des toxines, elle peut entraîner des lésions irréversibles (fibrose, cirrhose). Le pronostic est alors plus réservé, et la gestion vise à optimiser la qualité de vie du cheval à long terme.

Les chevaux qui se remettent d'une insuffisance hépatique nécessitent souvent un régime alimentaire adapté et un suivi vétérinaire régulier tout au long de leur vie. Cela peut entraîner des frais de suivi mensuels (compléments, analyses ponctuelles) de 50 à 200 €.

 

La prévention encore et toujours

La prévention est sans aucun doute la meilleure stratégie pour maintenir le foie de votre cheval en bonne santé. Votre vigilance et une gestion attentive de son environnement et de son alimentation sont des atouts majeurs.

Une gestion rigoureuse des pâturages reste la base. Une inspection régulière et méticuleuse des prairies permet d’identifier et de supprimer toutes les plantes toxiques pour le cheval. Bien sûr cela demande d’apprendre à les identifier mais il existe des applications comme Pl@ntnet  qui sont d’une grande aide.

Attention à qualité du fourrage et des aliments ! Il est fortement recommandé de vous servir qu’auprès de fournisseurs fiables. Inspectez systématiquement le foin avant de le distribuer pour détecter toute présence de plantes étrangères ou de moisissures. Un stockage parfait du fourrage et des aliments est également indispensable.

L’alimentation doit être équilibrée et adaptée à votre cheval. Il faut offrir à votre cheval une ration formulée précisément selon ses besoins (âge, niveau d'activité, race). Évitez les carences comme les excès, qui pourraient surcharger le système métabolique et le foie. Beaucoup de propriétaires de chevaux font appel aux services de nutritionnistes équin pour éviter de commettre des erreurs. Il est conseillé de drainer le foie du cheval à l’aide de suppléments alimentaires que le vétérinaire vous conseille.

On ne le répètera jamais assez mais l’accès illimité à une eau propre est fondamental. Une hydratation constante avec de l'eau fraîche et de qualité est indispensable pour toutes les fonctions corporelles, y compris la détoxification hépatique.

Utiliser les médicaments avec la plus grande prudence ! Administrez toujours les médicaments à votre cheval sous les conseils et la supervision stricte de votre vétérinaire. Le respect des dosages et des durées de traitement sont impératifs.

Une bonne gestion du stress environnemental de votre cheval est essentielle. Un environnement serein et stable contribue au bien-être général de votre cheval et, indirectement, à la santé de ses organes vitaux.

Rien ne remplace une bonne observation régulière. Vous êtes le premier et le meilleur observateur de votre cheval. Soyez attentif à tout changement de comportement, d'appétit, ou à l'apparition de symptômes, même les plus subtils. Une détection précoce est un facteur clé pour un diagnostic rapide et une prise en charge efficace.

 

Un coût non négligeable

L'insuffisance hépatique, comme beaucoup de maladies graves chez le cheval, peut entraîner des frais vétérinaires considérables. Comme vu précédemment, les coûts de diagnostic, les traitements intensifs et la gestion à long terme peuvent représenter une charge financière imprévue et significative. Ses frais peuvent très vite s’élever à plusieurs milliers d'euros.

C'est dans ce contexte qu'une assurance santé cheval prend toute sa valeur. Chez Hipassur, toute notre équipe est composé de cavaliers et propriétaires de chevaux, c’est pourquoi nous comprenons l'attachement que vous portez à votre cheval. Nous connaissons l'importance de pouvoir offrir à son cheval les meilleurs soins sans que l'aspect financier ne soit un frein.

Nos différentes formules d'assurance s’adaptent à vos besoins et à votre budget. Une assurance chevaux qui couvre les frais vétérinaires liés aux maladies graves, vous apporte une tranquillité d'esprit inestimable face aux aléas de la santé équine et aux dépenses imprévues.

Notre équipe répond à toutes vos questions et vous conseille pour vous trouver la meilleure solution d’assurance.

Avertissement : Les prix mentionnés sont des estimations générales basées sur des moyennes constatées en France et peuvent varier considérablement d'une clinique à l'autre, d'une région à l'autre, et selon la complexité individuelle du cas. Ils sont donnés à titre indicatif pour illustrer l'importance de l'anticipation financière des soins vétérinaires.

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